Journaliste de guerre, l’envers du décor…

Bonjour à tous,

Aujourd’hui, j’ai envie de vous faire partager un article qui me tient à cœur. Peut-être parce que je suis plus personnellement touchée du fait que c’est mon métier à la base, que ma formation aurait également pu m’emmener dans cet enfer. Je m’étais toujours dit que si on m’envoyait sur le terrain que je devais partir dans un pays en guerre, je le ferais. Comme tout journaliste, je pense. Mais on a beau imaginer, on ne se rend pas compte de la vraie réalité sur le terrain. Francesca Borri, elle, l’a fait.

© BibliObs

«Dormir chez les rebelles coûte 50$ par nuit; une voiture, 250$ par jour. Vous ne pouvez payer ni une assurance – 1000$ par mois – ni un fixeur. Vous êtes seul.»

Francesca Borri est journaliste, mais pigiste. A savoir qu’elle ne bénéfice d’un contrat qu’à l’article qu’elle écrit ou à la prestation qu’elle exerce pour un employeur. Pourtant, elle est partie sur le front de guerre. Elle nous raconte son quotidien, ce qu’elle vit, comment elle vit. Et le décor est loin d’être idéal. Prendre autant de risques pour si peu… Francesca est passionnée par son métier, on le sent.

J’ai juste envie de vous faire partager son petit bout d’histoire, son récit poignant qui donne des frissons. Pas de blabla cette fois, juste un lien…

Lettre d’une pigiste perdue dans l’enfer syrien

Je n’ai pas envie de lancer un débat quelconque sur ce que vous pensez des guerres ou de la couverture médiatique qu’elles peuvent entraîner. Cet article m’a touchée, je voulais juste vous le faire partager. Bonne lecture

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