Maquillage

Enlever son vernis sans dissolvant

Hello les ptits loups !

On a déjà pas mal parlé manucures et vernis et je viens de tomber sur un article paru sur le site internet du magazine FLAIR [magazine féminin, pour ceux qui ne connaîtraient pas]

Et ce qui a attiré mon attention, c’est le truc pour enlever du vernis sans dissolvant ! Alors là, bien évidemment, ça devient intéressant. Donc je clique sur le lien pour voir l’article, et là je tombe sur ça :

Hum… Donc là déjà je déchante. Je crois qu’on a déjà toutes essayé d’enlever du vernis en remettant une couche de vernis par-dessus, ou qu’on s’est rendues compte que la couche de vernis partait quand on remettait une couche par-dessus et qu’on l’accrochait malencontreusement alors qu’elle n’était pas encore sèche. Ça a dû nous arriver à toutes au moins une fois.

Le titre me semblait accrocheur, je me suis dit « Ah tiens, ça peut être intéressant de devoir enlever son vernis sans avoir de dissolvant sous la main ! » Et puis à la lecture, grosse question : Mais qui se balade avec un vernis transparent dans son sac ??? Genre si t’as pas de dissolvant sous la main, t’as forcément un vernis transparent. Je ne sais pas vous, mais pas moi… Et si c’est quelque chose qui peut – je dis bien PEUT parce que je reste sceptique quand même… – fonctionner sur des vernis clairs, je doute que ça fonctionne aussi bien que ça sur des vernis foncés. Mettez un joli bordeaux, enlevez-le avec du vernis transparent, je suis certaine que ça fait beaucoup plus de dégâts que du dissolvant…

Personnellement, c’est une technique qui ne me botte pas trop. Déjà parce que je ne me balade pas avec un top coat dans mon sac dans la vie de tous les jours. Et ensuite, je préfère avoir un petit accroc à mon vernis plutôt que de me retrouver avec des mains collantes et des ongles dégueulassés de couleur qui aurait bavé ou de restes de couleur qui donne une impression de mains sales…

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► Et vous, vous connaissiez cette technique ? Vous l’avez déjà utilisée ?
► Vous allez tester l’efficacité de cette petite astuce ou vous préférez rester avec un vernis écaillé le temps de rentrer chez vous ?

Le mascara fête ses 100 ans

Pour les fans de make-up, aujourd’hui est un jour important : le mascara fête ses 100 ans !

Un jour, Eugène Rimmel, développe un cosmétique à base de vaseline. Il sera repris quelques années plus tard par un certain T.L. Williams , chimiste, qui créa un jour un genre de pâte faite de vaseline et de charbon, au départ utilisée pour maquiller les cils et sourcils abîmés de sa sœur, Maybel [ça ne vous rappelle rien ?], victime d’un incendie. Innovation qui plaira à plus d’une, on s’en doute. Le mascara ne se présentait pas sous la forme de tube comme on le connaît maintenant, mais sous la forme de pain [comme un pain de savon], sur lequel on frottait une petite brosse qui servait ensuite à l’appliquer. Le frère et la sœur créent alors une petite boîte de vente par correspondance qui s’appellera… Maybelline ! Contraction du prénom de Maybel et de vaseline. La version du mascara que nous connaissons actuellement a été inventée par Helena Rubinstein en 1957.

Mais dès l’Antiquité, les femmes avaient compris ce qu’était la coquetterie. Les Egyptiennes utilisaient de l’antimoine [une pierre au reflet bleutés], réduite en poudre, pour donner naissance au khôl. Et leur faire des yeux de biche. Par la suite, l’antimoine fut mélangé à de poudre d’amande, de miel et de fiente de crocodile [Dit comme ça, ça ne donne pas très envie…]. Invention que les Occidentaux découvrirent bien des siècles plus tard. Dans les années 1800, les femmes utilisaient du jus de sureau et de la suie en guise de maquillage.

Au cours de ces différentes années, le mascara a connu des tas d’évolutions, devenant waterproof ou permettant d’allonger les cils grâce à des filaments de soie. Pour en arriver aujourd’hui à la multitude de produits que nous connaissons : effet faux-cils, smokey eyes, effet plume, effet étoffé, … Et devenant l’un des accessoires essentiels du maquillages. Bref, tout pour contenter mesdames !

Nous pouvons donc dire cette année : joyeux centenaire, le mascara !